Château Louis XI
Agence Iséroise de Diffusion Artistique - Festival Berlioz
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Concert du festival Berlioz : l'amour sorcier (version gitane)
Trois mélodies rares de Berlioz pour nous faire voyager et nous rapprocher de l’Espagne, via Ravel, avant la première version (1915) de L’Amour sorcier de Manuel de Falla, avec orchestre de chambre et cantaora.
Orchestre d’Auvergne
Jean-François Heisser, direction
Antonia Contreras, cantaora (chant flamenco)
Isabelle Druet, mezzo-soprano
Vincent Le Texier, baryton-basse
Philippe Hattat, piano
H. Berlioz, La Captive, La Belle voyageuse, Zaïde
M. Ravel, Pavane pour une infante défunte
M. Ravel, Don Quichotte à Dulcinée
M. De Falla, L’Amour sorcier (1ère version, 1915)
Par l’orchestre d’Auvergne dirigé par Jean-François Heisser, grand amateur de musique ibérique, et une chanteuse flamenco !
Orchestre d’Auvergne
Formation à part dans le paysage musical des orchestres permanents français, l’Orchestre d’Auvergne est un ensemble à cordes dont l’excellence est reconnue bien au-delà de ses frontières. La particularité de ses 21 cordes réside dans la stabilité exceptionnelle des effectifs, 5 musiciens étant déjà présents à la création de l’ensemble en 1981, 19 depuis plus de 15 années, et dans la très grande qualité d’un travail spécifique à l’orchestre de chambre, mené par Jean-Jacques Kantorow, puis par Arie van Beek, avec la participation de solistes et de chefs parmi les meilleurs, tous instruments et toutes générations confondus. Les nombreuses pages écrites dans l’histoire de la formation ont été marquées d’un indéfectible engagement musical, tant de la part des musiciens, que de celle des directeurs musicaux, permettant la réalisation de très nombreuses tournées et de plus de 30 CD tout en assurant conjointement et avec fidélité la vie musicale de la Région Auvergne et de la ville de Clermont-Ferrand. Il revient tout d’abord à Jean-Jacques Kantorow d’avoir compris cet orchestre et d’en avoir forgé le son et le jeu engagé, qualités ayant séduit tous ses publics. Infatigable visionnaire, il a porté la formation au plus haut niveau international, avec générosité et exigence, permettant également à chaque musicien de trouver sa voie, notamment en créant une série de concerts de musique de chambre en petites formations. Cette pratique n’est certainement pas étrangère à la grande cohésion instrumentale de l’ensemble. Arie van Beek a su conserver cette vision tout en ouvrant très largement les horizons musicaux de l’orchestre : un répertoire abordé sans cesse renouvelé, de la première période baroque à la plus contemporaine des créations, d’un continent à un autre, avec un souci permanent du détail et un respect absolu du compositeur et de la partition. Dans la continuité de cet esprit d’excellence, le jeune chef espagnol Roberto Forés Veses a été nommé Directeur musical et artistique de l’orchestre en 2012. Tous ces éléments réunis permettent d’augurer une longue et fructueuse carrière à venir pour cet ensemble de chambre, né de la volonté d’une politique culturelle décentralisée pour la musique classique, musique qu’il a su défendre, faire vivre, et porter au plus haut niveau depuis sa création.
Jean-François Heisser, direction
« Artiste complet », l’expression prend tout son sens avec Jean-François Heisser, pianiste, chef d’orchestre, pédagogue à la vaste culture et à la curiosité sans cesse en éveil. Né à Saint-Étienne, il est l’héritier de Vlado Perlemuter, Henriette Puig-Roget et Maria Curcio. Il enseigne le piano depuis 1991 au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi ses disciples on peut citer Bertrand Chamayou et Jean-Frédéric Neuburger avec lesquels il entretient une relation de grande complicité musicale. Son activité est aujourd’hui partagée entre une carrière de soliste, de directeur musical de l’Orchestre Poitou-Charentes (depuis 2001), de chef invité, et aussi de directeur artistique pour différentes structures et programmations de premier plan. Sa discographie compte plus de 40 enregistrements dont plusieurs ont été récompensés par la presse musicale française et internationale.
Isabelle Druet, mezzo-soprano
Musicienne au parcours atypique, Isabelle Druet a commencé à explorer la voix à travers les musiques traditionnelles et actuelles ; parallèlement à ses études au CNSM de Paris elle s’est formée au métier de comédienne. C’est dans le rôle du Page de Salomé qu’elle a fait ses débuts à l’Opéra de Paris en 2011. Après une saison 2014/2015 marquée notamment par ses débuts aux USA avec le Detroit Symphony Orchestra et dans le cadre prestigieux du Festspielhaus de Baden-Baden avec les Berliner Barocksolisten, la mezzo-soprano Isabelle Druet, lauréate du concours Reine Elisabeth de Belgique 2008, « révélation » des Victoires de la Musique 2010 et du programme Rising Stars mené par la Cité de la Musique en 2013, apparaît cette saison encore avec un égal bonheur tant sur les scènes d’opéras qu’au concert, exercice qu’elle affectionne particulièrement. 2015-2016 la verra ainsi de retour à l’Opéra National de Paris pour Rigoletto, aussi bien qu’en récital avec l’Orchestre National de Lorraine, pour le cycle Shéhérazade de Ravel, à l’Opéra de Limoges pour un récital Offenbach et en compagnie du choeur Accentus et Insula orchestra pour une nouvelle Petite Messe solennelle de Rossini. Elle apparaitra également en plus petite formation, avec des partenaires tels que les pianistes Anne le Bozec et Georges Pludermacher et poursuivra sa collaboration privilégiée avec le Poème Harmonique dans le répertoire de musique ancienne. Isabelle Druet a enregistré en 2011 chez Aparté son premier disque en récital avec la pianiste Johanne Ralambondrainy, consacré à la mélodie française, Jardin Nocturne, salué par la critique (FFFF Télérama). Son dernier opus en date est sorti au printemps 2015 pour le label Alpha : Tancrède, de Campra, avec le Centre de Musique Baroque de Versailles.
Vincent Le Texier, baryton-basse
Le baryton français Vincent Le Texier a d’abord fait sa formation vocale avec Udo Reinemann avant d’être admis à l’École d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris. Sa carrière professionelle a débuté avec le rôle de Goulaud dans Pelleas et Melisande qu’il chante aujourd’hui encore dans les plus prestigieuses salles du monde. Son répertoire couvre toutes les époques, du baroque aux créations contemporaines. Vincent Le Texier est régulièrement invité par des opéras préstigieux, tels que le Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles, l’Opéra de San Francisco, l’Amsterdam Concertgebouw ainsi que les opéras de Pairs, Madrid et Stuttgart. Il a aussi travaillé avec les maestros Alain Lombard, Marc Minkowski, Kent Nagano, Marek Janowski et Alain Altinoglu.
Jean-François Heisser, direction
Antonia Contreras, cantaora (chant flamenco)
Isabelle Druet, mezzo-soprano
Vincent Le Texier, baryton-basse
Philippe Hattat, piano
H. Berlioz, La Captive, La Belle voyageuse, Zaïde
M. Ravel, Pavane pour une infante défunte
M. Ravel, Don Quichotte à Dulcinée
M. De Falla, L’Amour sorcier (1ère version, 1915)
Par l’orchestre d’Auvergne dirigé par Jean-François Heisser, grand amateur de musique ibérique, et une chanteuse flamenco !
Orchestre d’Auvergne
Formation à part dans le paysage musical des orchestres permanents français, l’Orchestre d’Auvergne est un ensemble à cordes dont l’excellence est reconnue bien au-delà de ses frontières. La particularité de ses 21 cordes réside dans la stabilité exceptionnelle des effectifs, 5 musiciens étant déjà présents à la création de l’ensemble en 1981, 19 depuis plus de 15 années, et dans la très grande qualité d’un travail spécifique à l’orchestre de chambre, mené par Jean-Jacques Kantorow, puis par Arie van Beek, avec la participation de solistes et de chefs parmi les meilleurs, tous instruments et toutes générations confondus. Les nombreuses pages écrites dans l’histoire de la formation ont été marquées d’un indéfectible engagement musical, tant de la part des musiciens, que de celle des directeurs musicaux, permettant la réalisation de très nombreuses tournées et de plus de 30 CD tout en assurant conjointement et avec fidélité la vie musicale de la Région Auvergne et de la ville de Clermont-Ferrand. Il revient tout d’abord à Jean-Jacques Kantorow d’avoir compris cet orchestre et d’en avoir forgé le son et le jeu engagé, qualités ayant séduit tous ses publics. Infatigable visionnaire, il a porté la formation au plus haut niveau international, avec générosité et exigence, permettant également à chaque musicien de trouver sa voie, notamment en créant une série de concerts de musique de chambre en petites formations. Cette pratique n’est certainement pas étrangère à la grande cohésion instrumentale de l’ensemble. Arie van Beek a su conserver cette vision tout en ouvrant très largement les horizons musicaux de l’orchestre : un répertoire abordé sans cesse renouvelé, de la première période baroque à la plus contemporaine des créations, d’un continent à un autre, avec un souci permanent du détail et un respect absolu du compositeur et de la partition. Dans la continuité de cet esprit d’excellence, le jeune chef espagnol Roberto Forés Veses a été nommé Directeur musical et artistique de l’orchestre en 2012. Tous ces éléments réunis permettent d’augurer une longue et fructueuse carrière à venir pour cet ensemble de chambre, né de la volonté d’une politique culturelle décentralisée pour la musique classique, musique qu’il a su défendre, faire vivre, et porter au plus haut niveau depuis sa création.
Jean-François Heisser, direction
« Artiste complet », l’expression prend tout son sens avec Jean-François Heisser, pianiste, chef d’orchestre, pédagogue à la vaste culture et à la curiosité sans cesse en éveil. Né à Saint-Étienne, il est l’héritier de Vlado Perlemuter, Henriette Puig-Roget et Maria Curcio. Il enseigne le piano depuis 1991 au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi ses disciples on peut citer Bertrand Chamayou et Jean-Frédéric Neuburger avec lesquels il entretient une relation de grande complicité musicale. Son activité est aujourd’hui partagée entre une carrière de soliste, de directeur musical de l’Orchestre Poitou-Charentes (depuis 2001), de chef invité, et aussi de directeur artistique pour différentes structures et programmations de premier plan. Sa discographie compte plus de 40 enregistrements dont plusieurs ont été récompensés par la presse musicale française et internationale.
Isabelle Druet, mezzo-soprano
Musicienne au parcours atypique, Isabelle Druet a commencé à explorer la voix à travers les musiques traditionnelles et actuelles ; parallèlement à ses études au CNSM de Paris elle s’est formée au métier de comédienne. C’est dans le rôle du Page de Salomé qu’elle a fait ses débuts à l’Opéra de Paris en 2011. Après une saison 2014/2015 marquée notamment par ses débuts aux USA avec le Detroit Symphony Orchestra et dans le cadre prestigieux du Festspielhaus de Baden-Baden avec les Berliner Barocksolisten, la mezzo-soprano Isabelle Druet, lauréate du concours Reine Elisabeth de Belgique 2008, « révélation » des Victoires de la Musique 2010 et du programme Rising Stars mené par la Cité de la Musique en 2013, apparaît cette saison encore avec un égal bonheur tant sur les scènes d’opéras qu’au concert, exercice qu’elle affectionne particulièrement. 2015-2016 la verra ainsi de retour à l’Opéra National de Paris pour Rigoletto, aussi bien qu’en récital avec l’Orchestre National de Lorraine, pour le cycle Shéhérazade de Ravel, à l’Opéra de Limoges pour un récital Offenbach et en compagnie du choeur Accentus et Insula orchestra pour une nouvelle Petite Messe solennelle de Rossini. Elle apparaitra également en plus petite formation, avec des partenaires tels que les pianistes Anne le Bozec et Georges Pludermacher et poursuivra sa collaboration privilégiée avec le Poème Harmonique dans le répertoire de musique ancienne. Isabelle Druet a enregistré en 2011 chez Aparté son premier disque en récital avec la pianiste Johanne Ralambondrainy, consacré à la mélodie française, Jardin Nocturne, salué par la critique (FFFF Télérama). Son dernier opus en date est sorti au printemps 2015 pour le label Alpha : Tancrède, de Campra, avec le Centre de Musique Baroque de Versailles.
Vincent Le Texier, baryton-basse
Le baryton français Vincent Le Texier a d’abord fait sa formation vocale avec Udo Reinemann avant d’être admis à l’École d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris. Sa carrière professionelle a débuté avec le rôle de Goulaud dans Pelleas et Melisande qu’il chante aujourd’hui encore dans les plus prestigieuses salles du monde. Son répertoire couvre toutes les époques, du baroque aux créations contemporaines. Vincent Le Texier est régulièrement invité par des opéras préstigieux, tels que le Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles, l’Opéra de San Francisco, l’Amsterdam Concertgebouw ainsi que les opéras de Pairs, Madrid et Stuttgart. Il a aussi travaillé avec les maestros Alain Lombard, Marc Minkowski, Kent Nagano, Marek Janowski et Alain Altinoglu.
Période d'ouverture
Jeudi 25 août 2016 à 21h.
Tarifs
1ère série
Plein tarif : 60 €
Tarif réduit : 40 €
Moins de 12 ans : 15 €
2e série
Plein tarif : 45 €
Tarif réduit : 30 €
Moins de 12 ans : 12 €.